Quelques témoignages

Nous reproduisons ici quelques témoignages de personnes qui ont bien voulu participer au film documentaire
"Le Sanctuaiire Notre Dame du Charmaix"

Marguerite Vincendet

C’était une atmosphère priante à ce moment là …vraiment.
On avait confiance en Notre Dame du Charmaix.
D’ailleurs, ca n’a pas cessé, j’ai toujours confiance en elle.
Dès que j’ai un problème, je m’adresse à elle.


Auguste Nuer  (Président de l'Association des Amis du Charmaix)

Et puis, à chaque fois que j’ai un problème personnel, c’est elle, c’est à Notre Dame du Charmaix qu’on a recours. Pour tous les Modanais, elle a un rôle très important chez nous. Même les incroyants, il ont le droit de ne pas croire, ont un respect pour Notre Dame du Charmaix.

Marie Christine Guilloud (Restauratrice de peintures murales et de sculptures polychromes)

C’est une atmosphère de ce type où il y a un mystère, et puis en même temps, comment dirais je, une grande énergie en fait.


Don Franco (Curé de Bardonecchia)
Nous le considérons aussi le notre, comme faisant partie de notre coeur Italien ce Charmaix.

Gilberte Botte

Dès que nous rentrons dans la Chapelle, une impression de sérénité et de paix nous envahi et nous sortons de façon différente de la Chapelle.


Augusta Gleise
Elle est très recueillie, elle incite à la prière, il n'y a pas de distractions parce qu'elle n'est pas très éclairée cette chapelle, on ne peut pas se distraire.

Laurence Petinot (Guide du Patrimoine des Pays de Savoie)

Et puis en sortant de la Chapelle, j’ai eu plusieurs fois des personnes qui pleuraient.
Elles pleuraient parce que elles se sont vraiment rendues compte du calme et de la force que dégageait le bâtiment.

 

Pierrette Zoppi

Il y a donc beaucoup de sérénité lorsque l’on approche de cette Chapelle et puis, un élan de foi envers la Vierge.
C’est quand même quelque chose qui est ancrée en nous, que l’on porte en nous depuis toutes ces années. On la prie et on fait ce pèlerinage.


Lucia Rodrigues

J'y suis bien, j’aime bien prier, je dis toujours pourquoi on ne reste pas encore plus, j'y suis trop bien.


Commentaires

Par Nieutin Blanchet Nicole le jeudi 15 septembre 2016 à 18:55

de 1949 à 1952 j'avais une dizaine d'année et je faisais avec ma famille le pèlerinage pendant les vacances à cette époque l'école commençait le 1er octobre
Que de souvenirs heureux nous y allions à pieds en prenant le chemin coté tunnel de Fréjus en partant très tôt le matin
J'ai sur mon bureau la photo de la Chapelle en noir et blanc

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